Le 11 mars 2011, des vagues de plus de 30 mètres submergent la centrale de Fukushima Daiichi au Japon. Il ne s’agit plus seulement de l’ex-URSS et de Tchernobyl, cette fois c’est un pays développé qui est contaminé.
Les autorités françaises ne peuvent plus prétendre que « l’accident grave » ne peut advenir dans l’Hexagone.
Les parlementaires lancent des investigations : la sous-traitance apparaît comme le point critique du nucléaire français.
L’opération « stress tests » lancée dans la foulée en tient-elle compte ? Que fait l’Etat ?
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