Samedi 14 juin à 11h devant la préfecture de Vannes, la Fédération anti-nucléaire Bretagne a dénoncé l’inertie des pouvoirs publics et l’impunité dont bénéficie le pollueur AREVA depuis trop d’années.
L’extraction de l’uranium laisse un héritage empoisonné que ce soit ici en Bretagne, en France, au Niger ou ailleurs. Elle doit cesser. Et réparation doit être exigée au pollueur AREVA pour juguler l’impact sanitaire.