L’énergie nucléaire au service de la lutte contre le réchauffement climatique. L’argument, fondé sur l’absence d’émissions de gaz à effet de serre d’un réacteur atomique, est répété à l’envi par l’industrie depuis une quinzaine d’années comme un atout commercial. Beaucoup moins souligné: la vulnérabilité des mêmes centrales au réchauffement. Une étude enfonce le clou.