Depuis le mois de janvier, des études environnementales sont menées pour déterminer à quel endroit placer l’hydrolienne dans la Ria d’Étel. « Fin mai, nous avons déposé une demande d’autorisation d’occupation temporaire (AOT) du domaine maritime auprès de la DDTM affaires maritimes », explique Bernadette Réminyi, de LGI. La réponse des services de l’État pourrait tomber à la fin de l’été.